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[Test'1D][Steam] Isonzo


Disponible le 13 septembre sur PC, Xbox et PlayStation. Isonzo est un FPS sur la Première Guerre mondiale, qui nous plonge dans le front italien de la bataille d'Isonzo, où a eu lieu douze affrontements sanglants entre l'Italie et l'Autriche-Hongrie, du 23 juin 1915 au 12 septembre 1917. Développé par M2H et Blackmill Games, et édité par M2H, ce jeu est le 3e du studio à prendre part à une bataille de la Première Guerre mondiale, après Verdun et Tannenberg. On a donc remonté le temps pour découvrir cette bataille sanglante, lors de notre test.

Trailer du jeu

omme pour les deux premiers opus de WWI, Isonzo est un FPS multijoueur qui nous replonge dans l'une des batailles sanglantes de l'Isonzo. Dans ce jeu, on va devoir se frayer un chemin dans le front ennemi, pour prendre le contrôle de la zone, et remporter la partie. Dans ce nouvel opus, on retrouve deux camps. Le Royaume d'Italie. Et l'Empire Austro-Hongrois. Et bien sûr, toutes les armes de l'époque, avec plus d'une quarantaine d'armes et équipements, tous datant de la Première Guerre mondiale.


Le jeu propose un tout nouveau mode Offensive, qui nous plonge au cœur des offensives clés du front italien. Dans ce mode, on va devoir mener l'assaut au sein de magnifiques paysages italiens en choisissant une stratégie pour remporter la victoire. Et selon la carte, cette stratégie peut varier. Se frayer un chemin à travers les combes. Découper les fils barbelés. Ou encore, gravir la montagne. Tout est bon pour dominer le camp adversaire. Et remporter la victoire. Bien sûr, grâce aux divers objets mis à notre disposition, on va aussi pouvoir se protéger, en posant des barbelés, ou en positionnant sa ligne de sniper. Tout dépendra de l'équipe.

Lors d'une partie, on pourra sélectionner l'une des classes du jeu. Alpiniste. Fusilier. Officier. Ingénieur. Assaillant. Et pour finir, tireur d'élite. Selon la classe, on aura des armes et équipements prédéfinis que l'on pourra changer par la suite. Chacune de ces classes pourra évoluer au fil des parties en montant de niveau. Ce qui permettra de débloquer de nouvelles armes, ou de nouvelles aptitudes spéciales. On pourra aussi personnaliser ces classes grâce à différents skins. Malheureusement, beaucoup de ces skins sont en DLC. Ce qui annonce dès le début la couleur pour la suite.


En combat, Isonzo tente de nous proposer une expérience proche du réelle avec des animations fidèles. Et des situations assez réalistes qu'on aurait pu avoir à l'époque sur le champ de bataille. Par exemple, lors des attaques d'artillerie lourde ou d'aviation, si on est touché, sans mourir, on sera gravement blessé. Et on devra soigner l'hémorragie pour repartir. De même, si on s'approche un peu trop des barbelés, on peut rester coincé. Obligeant nos alliés à nous sortir de là, avant d'un ennemi nous tire dessus. Tout ceci permet de rendre les batailles encore plus réalistes et intéressantes. On va aussi avoir le droit à des attaques au gaz moutarde, nous obligeant à réagir assez vite pour mettre notre masque à gaz. Si on ne le fait pas rapidement. C'est la mort assurée.

Malheureusement, notre connaissance sur le terrain fut de très courte durée. Nous avons eu le droit à une soirée très ouverte avec de nombreux joueurs. Ce qui nous a permis de profiter des batailles d'Isonzo dans de meilleures conditions. Mais pas assez pour se faire un avis concret sur le jeu. Certes, nos premières parties nous ont totalement conquises. Le réalisme des batailles est impressionnant. Les différentes cartes sont sublimes. Et les musiques dans les menus sont particulières. Mais elles collent parfaitement à l'époque. Son seul défaut, c'est le manque de réalisme des tirs aux snipers. Il suffit simplement d'avoir un ennemi dans sa ligne de mire. Et c'est le coup fatal assuré. Pas besoin de gérer le vent ou autre. À tous les coups, ça touche la cible.


Pour conclure, Isonzo est un FPS historique qui nous plonge parfaitement au cœur des batailles de la Première Guerre mondiale. C'est beau. Et très réaliste. Un jeu à l'image de Verdun et Tannenberg. Mais le juger avec seulement 2 heures de bataille entre les mains, c'est assez difficile. Certes, on a pu participer à des batailles contre l'IA. Mais ce n'était pas aussi bien que les batailles avec 48 joueurs sur la carte. En espérant que les prochains jours apportent son lot de joueurs, que l'on puisse retourner sur le champ de bataille. Et prendre du plaisir.


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