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[Test'1D][Steam] Daymare: 1994 : Sandcastle


Disponible depuis le 30 août sur PC, PlayStation 5, PlayStation 4, Xbox One et Xbox Series, Daymare: 1994 : Sandcastle est le prologue de l'horrifique Daymare: 1998, sorti en 2019. Développé par Invader Studios, et édité par Leonardo Interactive, dans ce nouvel opus, on incarne l’agent spécial Dalila Reyes, en mission dans le centre de recherches militaires, à la recherche d'un scientifique et d'une mystérieuse mallette. Et après avoir explosé quelques cervelles de zombies survoltés, il est temps de donner notre avis sur le prologue d'un jeu qui ne nous avait déjà pas convaincu dans le passé.

Trailer du jeu

Daymare: 1994 : Sandcastle est le prologue de l'horrifique Daymare: 1998. Dans ce dernier, on incarne l’agent spécial Dalila Reyes en mission dans le centre de recherches militaires, afin de retrouver un scientifique et une mystérieuse mallette. Malheureusement, sa mission va vite se transformer en cauchemar lorsque des zombies survoltés vont faire rage. Et elle va tout mettre en œuvre pour sauver sa peau, et celle de ses coéquipiers, ou du moins ce qu'il en reste.


Dans Daymare: 1994 : Sandcastle, il va falloir sortir de cet enfer, vivant. Tout au long de notre exploration dans le centre de recherche, il faudra parfois résoudre des ennemis afin de réactiver l'électricité, ou de trouver une carte pour rétablir le courant. Pour nous aider, il faudra parfois mettre la main sur des objets qui vont nous servir pour résoudre les énigmes, ou progresser dans notre aventure. De plus, on aura un scanner à notre poignet qui va nous servir pour fouiller dans différentes machines électriques.

Seulement, l'aventure ne sera pas de tout repos. De nombreux zombies chargés d'une étrange énergie viendront mettre nos nerfs à rude épreuve. Pour les vaincre, selon les zombies, il faudra utiliser ses armes. Il y aura les zombies standard qui tomberont en une seule balle de fusil à pompe. Et des zombies rouges, que l’on devra tuer uniquement grâce à l’Étreinte gelée, une arme à l'azote liquide qui refroidira l'ambiance, et nos ennemis. Et qui nous permettra, une fois gelé, de les exploser. Une fois mort, un ennemi ne le sera jamais vraiment. Car quand ils seront à terre, une aura électrique se déplacera dans un autre corps, faisant ainsi revenir à la vie un ennemi, ou le rendant plus puissant s'il est déjà relevé. Il faudra donc s'en débarrasser avant qu'elle se déplace pour zombifier quelqu'un. Plus on avancera dans l'aventure, plus les ennemis deviendront nombreux et difficiles à vaincre. Et on ne pourra évidemment pas échapper aux boss, et leurs différentes strats, qui rendront l’aventure encore plus complexe.


Malheureusement, ce mélange de tout va rendre Daymare: 1994 : Sandcastle bien trop difficile pour être appréciable. Et ça, quelle que soit la difficulté. Car même dans le mode “histoire”, le jeu proposera très peu de munitions, de soins ou de recharge pour survivre. Et comme si ce n'était pas suffisant, entre une dizaine d'ennemis à vaincre, mis à part un point de sauvegarde, on n’a même pas de quoi se remettre en forme pour affronter le boss juste derrière.

En 2019, on avait gardé un très mauvais souvenir de Daymare: 1998. Mais on a quand même voulu lui laisser une seconde chance au prologue. Mais sans trop de surprises, le studio n’a pas su corriger les erreurs du passé. Entre sa difficulté, hardcore, inutile, et très déséquilibrée, et ses nombreux soucis de traductions, on se demande vraiment si le studio écoute le retour des joueurs. Certes, on n’a pas la vieille traduction “Vous Mortez”. Mais on a encore le droit à une belle liste de traductions “Made In Google”. On en rigole les premières heures. Mais après, entre la difficulté mal dosée, et les nombreuses phrases qui ne veulent rien dire, on commence à en pleurer.


La seule expérience positive que l'on retient de Daymare: 1994 : Sandcastle, ce sont ses graphismes. Bien sûr, on est loin d'un triple A. Mais quand on voit l'évolution depuis Daymare: 1998, on ne peut que féliciter le studio pour ce beau travail accompli. Les décors sont bien réalisés, et nos ennemis très bien modélisés. Et sans les différents problèmes d’équilibrage de la difficulté, on aurait vraiment apprécié notre aventure. De plus, l’ambiance et l'OST sont très agréables. Et ils nous accompagnent à merveille lors de notre voyage dans l’horreur de ce prologue.

Pour conclure, Daymare: 1994 : Sandcastle n'aura pas réussi à nous faire changer d'avis sur la franchise. Les soucis qu’on avait déjà pointés du doigt lors du premier opus, sont toujours présents. Et même si les fautes de Français, ce n’est pas le plus gros des soucis. Car le Français est une langue complexe. Le côté trop bourrin et l'équilibrage de la difficulté ont eu raison de nous. Et si un jour le studio décide de se lancer dans un troisième opus, pas sûr qu’on tente de s’y aventurer.


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