Disponible depuis le 6 août sur Steam, PlayStation 5 et Xbox Series, CYGNI: All Guns Blazing est un Shoot'em'up développé par KeelWorks, et édité par KONAMI, qui nous plonge dans un ciel infernal, où une armée de vaisseaux extraterrestres tente de détruire la planète. À bord de notre vaisseau, notre objectif va être de repousser l’envahisseur, tout en essayant de survivre. Et après des combats titanesques contre de gigantesques structures extraterrestres, il est temps pour nous de dévoiler notre test.
Trailer du jeu
CYGNI: All Guns Blazing est un Shoot’em’up explosif qui nous raconte l’histoire d’Ava, un pilote qui tente de suivre les traces de son père, lorsqu’une invasion extraterrestre tente d'envahir la planète. A bord de son vaisseau, elle va tout faire pour repousser les forces aliens, et apporté un peu de repos à l’humanité, grâce aux armes et aux drones attachés au chasseur stellaire Orca. Mais la mission d’Ava sera loin d’être facile. Car chaque vague sera accompagnée d’un imposant vaisseau extraterrestre, qui fera tout pour détruire Ava.
Dans CYGNI: All Guns Blazing, on va avoir le droit à deux modes de jeu. Le premier, le mode Histoire. Ce dernier va nous plonger dans l’univers de CYGNI: All Guns Blazing à travers une campagne de 7 niveaux, de plus en plus difficiles, avec, en vedette, Ava, qui nous racontera son histoire à travers de somptueuses cinématiques. Quand on en aura terminé avec les 7 niveaux de l’histoire, on débloquera le second mode de jeu, le mode Arcade. Dans ce dernier, on va pouvoir participer à de nouvelles boucles, et de nouveaux défis.
Lors des différents niveaux de CYGNI: All Guns Blazing, à bord de notre vaisseau, on va devoir enchaîner les tirs sur les vaisseaux ennemis, tout en essayant de survivre. Pour nous aider, on aura différentes armes à notre disposition, comme les missiles téléguidés, la mitrailleuse principale, les bombes, ainsi que des drones et notre bouclier. Mais avant de pouvoir tout faire exploser, il faudra faire évoluer notre vaisseau. Pour cela, après chaque niveau, on gagnera des médailles qui serviront à débloquer nos améliorations pour le vaisseau. Le nombre de médailles va varier selon la difficulté sélectionnée au début du niveau. Au total, il y aura 3 modes de difficulté, allant de facile à difficile, en passant par moyen. La difficulté permettra aussi d’avoir plus ou moins de vie pendant le niveau.
Même si CYGNI: All Guns Blazing reste un simple Shoot’em’up, ça fait de nombreuses années qu’on n’avait pas eu le droit à un Shmup aussi exceptionnel. En plus d’avoir le droit à une histoire narrative entièrement doublée en français, chaque niveau nous en met plein la vue avec ses nombreux vaisseaux, missiles et explosions. C’est un véritable feu d’artifice à chaque niveau, surtout à l’arrivée des boss. Et on en prend plein les yeux. Certes, ça peut paraître brouillon à de nombreuses reprises. Surtout quand des vaisseaux vont commencer à arriver dans tous les sens. Mais c’est ce qui fait tout le charme de ce Shoot’em’up. Le jeu de KeelWorks ne manque pas de vie. Et on prend plaisir à tout détruire, même lors des situations délicates. Surtout quand on se lance dans l’aventure en coop.
Mais CYGNI: All Guns Blazing ne se démarque pas uniquement par son aspect visuel qui nous en met plein la vue. On a aussi le droit à un somptueux voyage sonore lors de chaque niveau, que ce soit avec la musique, ou avec la destruction des vaisseaux, et les explosions à tout va, qui viennent embellir le spectacle déjà mémorable. On regrette tout de même la difficulté, parfois déséquilibrée de certains niveaux, qui nous oblige à recommencer 3-4 fois le même niveau, à cause d’une vague trop importante d’ennemis qu’on n’a pas su anticiper avant.
Pour conclure, même si CYGNI: All Guns Blazing n’est pas parfait, avec encore quelques problèmes d’optimisations et d'équilibrages, ça n’en reste pas moins un Shoot’em’up exceptionnel. Visuellement, c’est tout simplement sublime. Surtout lors des boss. Les niveaux sont toujours pleins d'énergies. Ce qui les rend plaisants, même quand on meurt. Et l’OST et le doublage français lors des cinématiques apportent un petit plus à l’histoire. Dommage que tout ceci prennent fin après seulement 2 petites heures.
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