Disponible depuis le 21 septembre, World War Z : Aftermath est un jeu de tir coopératif développé par Saber Interactive, et édité par Focus Home, qui remplace World War Z, sorti en 2019. Cette toute nouvelle version ajoute de nouvelles histoires, une nouvelle génération de zombies, ainsi que d'autres surprises. On a donc fait équipe pour combattre des hordes de zombies déchaînés, et donner notre avis sur le jeu.
À La Découverte de World War Z: Aftermath
Après le succès du film, et celui du jeu, Saber Interactive a décidé de faire revivre ses zombies à travers une nouvelle version de son jeu de tir coopératif, World War Z, avec sa version Aftermath. Dans ce jeu de zombies, tiré du film à succès, on va donc devoir faire équipe pour tuer les immenses hordes de zombies qui viennent s'inviter à la partie. Et quand on dit immense, c'est vraiment immense. Car la particularité de World War Z: Aftermath, ce sont des milliers de zombies qui viennent nous dire bonjour. Rien que ça. Enfin, tout dépend de la difficulté. Plus on augmente la difficulté, plus cette vague grandit. Le jeu propose un mode campagne coop, en ligne public ou privée, ou hors ligne, et un mode multijoueur. La campagne propose 7 épisodes qui se déroulent à travers le monde. Marseille. Rome. Moscou. Tokyo. On retrouve aussi un mode défi et horde, pour compléter cette campagne, déjà bien garnie en zombie. Le but du mode campagne va être de terminer les différents épisodes, avec 3 autres joueurs. Le second mode disponible est un mode multijoueur. Un mode très peu intéressant pour un jeu comme World War Z. Car on va y faire des matchs à mort ou des dominations. Il y a 5 modes de jeu au total. Mais si on veut tenter une partie, on peut toujours attendre. Car aucune partie n'est disponible.
Avant chaque partie, on va pouvoir sélectionner notre classe. Le jeu en propose plusieurs. Il y en a 8 en mode campagne. On retrouve fantassin, infirmier, surineur, ou encore Vanguard. Chaque classe a son propre arbre de compétences. Ces dernières peuvent être débloquées grâce aux points virtuels gagnés après chaque partie. Mais aussi en montant de niveau. Les classes ont un niveau maximum allant jusqu'à 30. On peut aussi changer d'armes, et leurs skins. Les armes sont classées en niveau. Pour finir, on peut choisir l'un 28 personnages, et modifier leur apparence et leurs accessoires. En mode multijoueur, le jeu propose 10 classes, différentes du mode campagne. On retrouve survivant, spécialiste, fantôme, frappeur, ou encore, assassin. Chacune de ces classes ont elles aussi un arbre à compétences.
World War Z: Aftermath est un jeu qui, malgré ses hordes de zombies, n'a pas trop de problèmes d'optimisation. Bien au contraire. Le jeu tourne comme une horloge en ultra. En tout cas, de notre côté, on a eu aucun problème avec notre configuration. Mais le jeu n'est pas non plus exceptionnel. Il n'est pas moche. Les lieux sont magnifiques et très variés. Mais ça reste très basique. Les cartes ne sont pas toujours très détaillées. De plus, l'IA est aux fraises. Ce qui rend les parties moins funs que prévu. Bon, ça reste toujours aussi jouissif de pouvoir exploser un nombre incalculable de zombies, juste pour le plaisir. Mais ça serait encore mieux si on ne jouait pas constamment avec des IA, par manque de joueurs. Surtout que même les IA alliés ne sont pas toujours très futés. Et parfois, on a qu'une seule envie, les tuer.
Avant de conclure, on va parler d'un choix qu'on a apprécié dans cette version Aftermath de World War Z. C'est le choix de la vue. On peut, si on le souhaite, jouer en vue FPS ou TPS. Même si ce genre de jeu s'apprécie plus facilement en FPS. Le fait de pouvoir mettre en TPS peut parfois nous arranger. Surtout quand on se fait bloquer par une horde.
Pour conclure, World War Z: Aftermath est un bon jeu de tir en coopération. Mais il faut y jouer entre amis. Car malheureusement, les serveurs ne sont pas très peuplés. Et on attend assez longtemps pour trouver une partie. Pourtant, quand on fait un petit tour sur steamdb, on peut remarquer une population moyenne de 1000 joueurs par jour. Mais où sont-ils ? En tout cas, face à des jeux comme Back 4 Blood, ou encore, Left 4 Dead, difficile de se faire une place.
