[Test'1D][Steam] The Cecil: The Journey Begins
- Couple of Gamer

- 3 avr.
- 3 min de lecture

Disponible le 3 avril sur PC, The Cecil : The Journey Begins est un survival horror psychologique, développé par Genie Interactive Games et édité par Wandering Wizard et Snail Games USA, où un certain John va devoir explorer l'hôtel Cecil à la recherche de sa femme. Et après en avoir appris un peu plus sur l'endroit, il est temps de donner notre avis.
Trailer du jeu
The Cecil: The Journey Begins est un survival horror psychologique qui nous raconte l'histoire de John et Sarah, un couple qui s’est rendu dans l'hôtel Cecil pour une petite escapade romantique. Malheureusement, le séjour va tourner au drame lorsque John se réveille enfermé dans une cellule sombre, et qu’il découvre que Sarah a disparu. Il va donc tout mettre en œuvre pour la retrouver.
Dans The Cecil: The Journey Begins, avant de partir à la recherche de notre femme, on va devoir se libérer de notre cellule ainsi que de la pièce où on est enfermé, afin d’atteindre le hall de l'hôtel. Pour cela, on devra explorer les lieux afin de mettre la main sur différents objets comme une ventouse, des clés ou encore une pince. Avec ces premiers objets récupérés, on va en apprendre un peu plus sur leur utilité. Ceci va aussi nous permettre d’apprendre les mécanismes, très classiques, du jeu.
Une fois qu’on aura compris les mécaniques de The Cecil: The Journey Begins, on pourra poursuivre notre exploration de l'hôtel et tenter de sauver notre femme.Très vite, au cours de l'exploration, on devra faire face à des énigmes. Ces dernières ne seront pas très difficiles. Il suffira simplement de déplacer des poupées dans leur maison, de trouver le bon masque pour ouvrir une porte ou de placer des rouages pour activer un mécanisme.
Mais The Cecil: The Journey Begins n’est pas un simple Walking Simulator de l’horreur. Lors de notre exploration, on devra faire face à des ennemis. Pour les vaincre, on aura la possibilité d’utiliser une arme que l’on trouvera très tôt dans l'aventure. Malheureusement, les munitions seront limitées, et les ennemis seront parfois coriaces. Ce qui rendra certains combats frustrants. De plus, lors de ces combats, il faudra éviter de se faire toucher. Car pour récupérer du soin, il faudra mettre la main sur des canettes, qu’on ne trouvera pas si facilement.
Au cours de notre exploration, pour en apprendre plus sur l'hôtel et les événements de ce lieu, on pourra mettre la main sur des notes ou des objets. Certains seront obligatoires pour progresser dans l’aventure. Mais la plupart seront de simples documents à lire, ou pas. Pour venir à bout de l’aventure, il faudra compter un peu moins de 4 heures. C’est assez court. Mais au vu de la catastrophe, c’est déjà trop long.
Avant de passer au négatif, on va parler du positif. La direction artistique de The Cecil: The Journey Begins est plutôt réussie. L'hôtel est très bien réalisé et l’ambiance horrifique est au rendez-vous. Certes, les monstres ne sont pas très terrifiants. Mais cela n'est pas le plus gros problème du jeu. The Cecil: The Journey Begins est un jeu qui n’a pas vraiment terminé son développement. Tout d’abord, il est impossible de changer les touches d’un clavier AZERTY. Ce qui rend la progression presque impossible. Et comme la manette n'est pas prise en compte, on est obligé de trouver une solution avec le clavier. Et comme si cela n'était pas suffisant, de nombreux bugs viennent obscurcir notre aventure. Problème de collision, vol au-delà des décors et bien d’autres. Le tout accompagné par un OST absent qui rend très vite l'aventure ennuyante. Heureusement, on a le droit au doublage anglais et à quelques bruitages pour mettre l’ambiance.
Pour conclure, The Cecil: The Journey Begins aurait pu être un très bon survival horror. Malheureusement, ses nombreux bugs et ses soucis de mappages viennent tout gâcher. Rendant l’aventure frustrante et désagréable. En espérant qu’une mise à jour Day One vienne corriger le plus gros des soucis, afin que tous les joueurs puissent profiter comme il se doit de ce titre.








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