top of page
Photo du rédacteurCouple of Gamer

[Test'1D][Steam] Akimbot


Disponible depuis le 29 août sur PlayStation 5, Xbox Series et Nintendo Switch, Akimbot est le nouveau jeu d'aventure du studio français Evil Raptor, les développeurs du très bon Pumpkin Jack, sorti il y a maintenant 4 ans. Dans cette nouvelle aventure, on va faire la rencontre de Exe et Shipset, deux prisonniers qui n'ont rien en commun. Mais qui vont devoir faire équipe pour vaincre Evilware et ses sbires. Et après un voyage dans le temps et dans toute la galaxie, il est temps pour nous de dévoiler notre test de ce plateformer explosif.

Trailer du jeu

Akimbot est un jeu de plate-forme action-aventure en 3D, où l'on y incarne Exe, un robot hors-la-loi, accompagné de son acolyte de fortune, Shipset, qui après avoir échappé à la prison, vont devoir s’allier pour participer à l’une des plus grandes guerres de la galaxie. Sous les ordres de l’Ambassadeur, ils vont devoir traverser la galaxie, afin de mettre un terme au chaos engendré par le vile scientifique, Evilware.


Le nouveau de Nicolas Meyssonnier va nous plonger dans un monde de science-fiction peuplé de robots, en compagnie de ce drôle de duo. En contrôlant principalement Exe, notre mission va être d’explorer chaque niveau, afin de se rapprocher un peu plus d’Evilware. Mais lors de notre mésaventure qui va nous faire voyager dans le temps et l’espace, on va découvrir que le vilain n’est pas toujours celui qu’on pense.

Pour progresser dans Akimbot, on va simplement devoir explorer chacun des niveaux, et vaincre les nombreux ennemis qui se mettront en travers de notre route. Tout en résolvant de nombreuses petites énigmes, et en piratant quelques ordinateurs. Pour nous aider, on va pouvoir compter sur notre ami Shipset, qui, avec sa voix énervante, va tuer tous les ennemis de la carte en quelques secondes. Non, on rigole. Shipset, mis à part lors de quelques séquences, ne servira à rien. Sauf à nous casser les oreilles. Un peu à l’image d’un certain Clap Trap dans Borderland. On se demande même s’ils ne sont pas frères, ces deux-là. Mais ce n’est pas pour ça qu’on le déteste. Bien au contraire. C’est lui qui va apporter tout le charme à l’aventure.


Pour vraiment progresser dans le jeu, on devra compter sur notre mercenaire, Exe, et ses nombreuses armes. Au début de l’aventure, on va devoir se battre au corps-à-corps. Mais très vite, on va se retrouver avec notre fusil d’assaut pour tuer nos ennemis. Et grâce aux Botcoins récoltés dans des caisses, on va pouvoir se procurer 4 nouvelles armes, et les améliorer par la suite. Malheureusement, petit bug ou mauvaise gestion, les Botcoins seront très difficiles à récolter. D’ailleurs, visuellement, lorsque l’on cassera les caisses, il y aura une vingtaine de Botcoins qui apparaîtront. Mais une fois récolté, seuls 2 ou 3 seront ajoutés à notre compteur. Ce qui va rendre l’achat des armes et de leurs améliorations, très longues.

En plus de ces 4 armes secondaires et de notre arme principale, on va débloquer d’autres armes au cours de notre aventure, comme le minigun, le sniper, ou encore, le lance-roquettes. Ces dernières vont fonctionner comme l’arme principale, avec des munitions illimitées. Mais un système de surchauffe qui va nous obliger à faire quelques pauses entre nos tirs. Tandis que les armes secondaires fonctionneront à l'énergie.


Lors de notre voyage à travers la galaxie, on aura aussi la chance de pouvoir monter à bord de nombreux véhicules, qui seront tous armés, ou presque. Des combats dans l’espace à bord d’un vaisseau spatial. Des courses contre-la-mort à dos d’un T-Rex robotique. Et de nombreuses explorations à bord d’un buggy. Les moyens de transport ne manquent pas d’imagination dans Akimbot. Et à chaque fois, c’est un véritable plaisir de les découvrir. On va aussi avoir divers outils pour nous aider à travers les nombreuses plateformes de chaque niveau, comme nos turbo-propulseurs qui nous serviront à effectuer un double saut, ou encore, le grappin.


Pour venir à bout d’Akimbot, il faudra compter une petite dizaine d’heures. Mais l’aventure sera loin d’être de tout repos. La difficulté sera au rendez-vous tout au long de notre voyage, avec des séquences un peu trop difficiles par moments. Rendant l’aventure très frustrante. Bien sûr, si on souhaite se faciliter la tâche, on pourra toujours baisser la difficulté. Et on ne va pas se cacher que lors de certains passages, ça fait du bien d’underlocker le jeu.

Alors que Pumpkin Jack nous plongeait dans un monde cartoonesque un peu gothique, nous rappelant un peu Medievil. Akimbot, lui, nous fait voyager à travers la galaxie dans un univers en low-poly ultra coloré. Le talent du studio permet de rendre chaque niveau exceptionnel, avec un level design travaillé, pour notre plus grand plaisir. Tout au long de l’aventure, on a le droit à des niveaux variés, qui ne manquent pas d’idées pour se renouveler. On a même quelques niveaux qui, malgré le côté un peu classique de la direction artistique, arrivent à nous en mettre plein les yeux. Pour nous accompagner dans ce voyage intergalactique, on a le droit à une bande-son pleine d'énergie. Mais surtout, un doublage exceptionnel, avec un Shipset au top, qui pourrait facilement faire oublier Claptrap.


Pour conclure, Akimbot est un jeu réussi qui nous plonge dans une aventure intergalactique pleine de surprises et d’humour. On a le droit à un gameplay qui évolue constamment, avec des niveaux variés, et toujours plus impressionnant les uns que les autres. Mais ce qu’on apprécie vraiment dans cette aventure, c’est ce petit duo charismatique que tout oppose. Porté par un Shipset incontournable, qui nous fait rire par ses nombreuses prises de parole. Impossible de ne pas tomber sous le charme de cette aventure. Surtout quand ce duo a le droit à un doublage d’exception qui le rend encore meilleur. Certes, il y a quelques petits défauts et bugs, qui nous obligent parfois à relancer le jeu à plusieurs reprises. Mais on n'en tient pas vraiment rigueur. Car à côté, tout est parfait, du début à la fin.


165 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Comments


bottom of page