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[Preview] On a exploré le monde de Possessor(s)

  • Photo du rédacteur: Couple of Gamer
    Couple of Gamer
  • 7 juin
  • 3 min de lecture
Preview On a exploré le monde de Possessor(s)

Annoncé lors du Day of the Devs showcase à l’occasion du Summer Game Fest, et disponible prochainement sur Steam et PlayStation 5, Possessor(s) est un metroidvania assez punitif, développé par Heart Machine et édité par Devolver Digital, où l’on va prendre le contrôle de Luca, afin d’explorer une ville en quarantaine, déchirée et inondée par une catastrophe interdimensionnelle. Et après avoir exploré ce petit monde post-apocalyptique, il est temps pour nous de dévoiler nos premières impressions.

Trailer du jeu 

Possessor(s) est un metroidvania proposant un gameplay en défilement horizontal, où l’on va découvrir l’histoire de Luca qui, après avoir perdu ses jambes, va avoir le droit à une seconde chance grâce à un mystérieux personnage du nom de Rhem. Avec ses nouvelles jambes, Luca va devoir parcourir les ruines interconnectées d'une mégalopole afin de comprendre ce qui s’est réellement passé. 


Lors de ce premier Hands-on, on a découvert le début de l’aventure. Ce qui nous a tout de même permis de voir ce que le jeu avait dans le ventre. Dans Possessor(s), comme dans de nombreux metroidvania, on va devoir se déplacer de zones en zones afin de se frayer un chemin vers nos différentes quêtes. Pour ce premier aperçu, après une petite présentation de l’histoire, notre objectif était d’ouvrir une immense porte en déverrouillant les 4 verrous éparpillés un peu partout dans la zone. Une mission assez longue, mais surtout, très difficile. 

Pour progresser dans les ruines de Possessor(s), on va devoir utiliser les différentes capacités de Luca. On va pouvoir sauter, faire des sauts sur les murs et s’agripper à certains rebords. Très rapidement, on va débloquer une nouvelle capacité qui va nous servir de grappin, nous permettant d’agripper des points d'ancrage spécifiques. Une fois accroché, on aura la possibilité de se balancer et de monter et descendre.  


Sur notre route, on va croiser le chemin de nombreux ennemis. Certains pourront être esquivés. Mais pour d’autres, il faudra obligatoirement les vaincre pour avancer. Pour les tuer, on sera équipé de couteaux. Du moins, au début de notre aventure. Grâce à ces derniers, on pourra effectuer des attaques rapides et répétées, jusqu’à les faire tomber. Tuer un ennemi va nous permettre de récupérer de la chroma qui servira à faire quelques achats auprès d’un petit monstre qui se cachera dans les ruines de la ville. Permettant ainsi d’améliorer nos armes et nos compétences. 

Les combats dans Possessor(s) seront assez particuliers. Car même s’il faudra simplement attaquer nos ennemis, certains seront un peu plus coriaces. Et le moindre coup nous coûtera la vie. Pour éviter de se faire toucher, on pourra effectuer un saut ou une esquive. Malheureusement, ça ne fonctionnera pas toujours. Et même en essayant d’esquiver au bon moment, on se fera toucher un peu trop facilement. Ce qui rendra les combats frustrants. On pourra aussi compter sur notre grappin pour annuler une attaque d’un ennemi et le rapprocher de nous. Mais ce système ne fonctionnera pas avec tous les monstres. 


Visuellement, ce premier aperçu de Possessor(s) nous a plongé dans un monde en 3D coloré, style anime, très sombre. Une direction artistique dessinée à la main qui nous donne vraiment envie d’en découvrir un peu plus sur le jeu. Malheureusement, ce premier Hands-on ne nous a pas vraiment permis de voir le potentiel du jeu. On avait souvent les mêmes décors, une fois dans le bâtiment principal. Seul le bestiaire était assez varié pour un premier aperçu. 

Pour conclure, Possessor(s) est un metroidvania qui s’annonce intéressant. Mais qui va sûrement faire rager plus d’un joueur. Certes, le jeu ne réinvente pas le genre. On est sur un metroidvania assez classique. Mais sa direction artistique et le mystère qui gravite autour de l’histoire nous donnent envie de lui laisser une chance. En espérant que la difficulté soit revue à la baisse le jour de sa sortie.

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