Disponible le 1er juin sur Nintendo Switch, PlayStation5, PlayStation4, Xbox One et Xbox Series X|S, mais également en VR sur PC, Killer Frequency est un jeu d'horreur/narratif, développé et édité par Team17, où l’on incarne Forrest Nash, un animateur de radio nocturne qui remplace en direct le standard de la police pour venir en aide aux habitants poursuivis par un tueur, appelé le siffleur. Et après une preview sanglante, nous avons continué l’aventure, afin de découvrir la fin de son histoire.
Trailer du jeu
Killer Frequency est un jeu d'horreur/narratif qui nous plonge dans les années 80 où l'on y incarne, Forrest Nash, un animateur Radio qui anime une émission de nuit dans la petite ville de Gallows Creek. Alors qu'il s'attend à une nouvelle nuit ennuyeuse, notre animateur va vite déchanter lorsque la standardiste de la Police de la ville lui laisse les commandes du standard, car elle doit chercher de l'aide dans une ville voisine, après qu'elle ait découvert le meurtre du shérif, commit par le siffleur, un tueur en série supposé mort, qui a commis de nombreux crimes dans les années 50.
Dans Killer Frequecy, on va jouer l'animateur de Radio. Pour distraire nos auditeurs, on va jouer de la musique, des pubs, faire des bruitages ou prendre des appels. Après quelques échanges avec notre public, on reçoit le coup de fil tant redouté de la standardiste de la police, qui va nous apprendre qu'elle doit nous laisser le standard afin qu'elle puisse aller chercher de l'aide, car personne n’est présent pour la remplacer. Et on est les seuls à savoir comment fonctionne vraiment un standard.
Depuis notre antenne, et en direct, on continue nos petites affaires. Entre deux animations, on reçoit quelques coups de fil du standard de la police de Gallows Creek. Ces derniers vont nous demander de l'aide, car ils sont poursuivis par le Siffleur. Entre temps, on aura l'occasion de se déplacer dans les pièces aux alentours de la salle, pour chercher quelques objets, comme une notice, ou un plan, qui vont nous aider dans nos missions de sauvetage. Après la récupération de ces objets, on va essayer d’orienter les victimes du Siffleur, afin de leur venir en aide, en réalisant divers choix, avant qu'il ne soit trop tard. Il faudra faire ça, jusqu’à ce que les victimes soient sorties d'affaires, ou jusqu’à leur mort. Au cours de l'aventure, on va apprendre que toutes les personnes visées par le tueur seront toutes liées de près ou de loin à une seule affaire. Et donc que leur survie va impacter la fin de notre aventure. Pour découvrir le fin mot de l'histoire, il faudra compter 4 petites heures. Mais comme le jeu propose différentes fins, cette durée de vie pourra être doublée si on souhaite toutes les découvrir.
La direction artistique nous plonge à merveille dans les studios d'une radio des années 80. Muni des vieilles machines, d’un tourne-disque pour vinyle et d'un lecteur de cassette, on va pouvoir gérer notre émission, comme à l’époque. Le tout est accompagné d’une bande son qui colle parfaitement à l'ambiance du jeu. Ce qui procure une bonne dose de rétro pour les fans du XXe siècle.
Pour conclure, la preview sanglante de Killer Frequency nous avait déjà tenu en haleine. Et on était impatient d'en découvrir plus. Maintenant qu’on a pu voir la suite et fin de cette histoire, on ne s'attendait absolument pas à vivre une telle aventure. Et c’est une réussite en tout point. Le concept est original. Et comme on vit cette aventure à distance, on a le droit à une expérience horrifique, loin du danger et du sang. Ce qui le démarque des autres jeux d’horreur/survie. Le tout dans une ambiance rétro réussi, et des fins multiples, pour encore plus de plaisir.
