[Test'1D][Nintendo Switch 2] Dear me, I was...

Disponible le 31 juillet en exclusivité sur Nintendo Switch 2, Dear me, I was... est une aventure interactive développée et éditée par Arc System Works, où l'on va suivre les étapes de la vie d'une jeune femme. Et après avoir découvert son histoire, il est temps pour nous de dévoiler notre avis.

Trailer du jeu

Dear me, I was... est une aventure interactive qui va nous permettre de découvrir la vie d’une jeune femme ordinaire à travers 10 chapitres, allant de sa jeunesse, en passant par l'adolescence, jusqu'à sa vie d'adulte. Une histoire qui nous fait passer par toutes les émotions que l’on va devoir vivre à travers de sublimes illustrations dessinées à la main.

Malheureusement, Dear me, I was… est une aventure qui se vit avant de se jouer. Et pendant un peu moins d’une heure, on va surtout devoir découvrir l’histoire de cette jeune femme à travers différentes scènes. Parfois, on aura l'occasion de réagir en mangeant, en rangeant des cartons ou en gribouillant un dessin sur une feuille. Mais rien de plus. Tout le reste de cette aventure se vivra au son et à l’image. 

Bien sûr, malgré ce côté film interactif qui se vit, Dear me, I was... reste un magnifique jeu. En plus de nous proposer de sublimes scènes dignes d’un tableau en aquarelle, le jeu d’Arc System Works réussit à nous faire passer par toutes les émotions grâce à sa musique et ses magnifiques dessins. Il n’a même pas besoin de textes pour nous faire réagir. Seul l’art d’un crayon et quelques notes nous permettent de comprendre ce que cette jeune femme a enduré. C’est triste, mais tellement magnifique.

Pour conclure, Dear me, I was... est une douce et belle aventure interactive. Malheureusement, l'absence de gameplay réduit drastiquement la durée de vie. Et même si on était prévenu d'avance que l'aventure ne durerait pas plus d'une heure, on aurait pu penser que le jeu aurait un peu plus d’interaction et de rejouabilité. Ce qui n’est pas le cas. Et même si la vie de cette jeune femme est magnifique à découvrir, on reste sur notre faim.