
La maison de ventes Aibo Art Auction est fière d'annoncer sa prochaine vente aux enchères dédiée à l'univers de l’animation japonaise. Ce nouvel événement, qui se tiendra le 15 décembre 2024 à Paris dans le 3e arrondissement, invite amateurs, passionnés et collectionneurs à découvrir une sélection rare et unique d'œuvres et d'objets emblématiques de la culture animée japonaise : signe de l’engouement en pleine expansion qui sévit actuellement en France.
Prochaine vente Animation Japonaise Aibo Art Auction : dimanche 15 décembre à 14h
En live et en direct sur Drouot live et Interencheres
Exposition des lots 13/12 de 10h à 19h, 14/12 de 10h à 12h, 15/12 de 10 à 12h
Galerie Joseph – 7 rue Froissart 75003 PARIS
Une culture mondiale au public français passionné
Tendance émergente, l’intérêt pour l’animation japonaise ne cesse de croître en France. Univers riche et créatif venu du Japon, qui englobe les séries animées, les films d'animation, et le manga, elle attire, au-delà des frontières nippones, des audiences de tous âges et horizons, devenant une culture universelle du fait de la diffusion mondiale de ses œuvres, avec un public particulièrement passionné et fidèle.
En 2024, le marché mondial de l’animation japonaise continue de croître, avec une valeur estimée à environ 28,55 milliards de dollars, marquant une augmentation par rapport aux 26 milliards de 2023. La popularité mondiale de l’animé est alimentée par des plateformes de streaming comme Netflix et Crunchyroll, qui permettent une diffusion plus large de contenus japonais et des collaborations directes avec des studios pour la création d’animé originaux. Ces plateformes renforcent la demande mondiale, avec une croissance annuelle de l’industrie autour de 9,5 % et des prévisions atteignant plus de 41 milliards de dollars d’ici 2028.
En 2024, le marché de l’animation japonaise en France se porte bien, témoignant d’un engouement continu du public pour les films d’animation japonais. Plusieurs sorties récentes, telles que Le Garçon et le Héron, ont attiré un large public en salles. Le film de Hayao Miyazaki a réalisé plus de 1,5 million d’entrées en France.
Adjugé, vendu ! Les prix marteau s’envolent en salle des ventes
L’effervescence du marché a permis l’émergence des ventes aux enchères dédiées à la thématique de l’animation japonaise. Les celluloïds, ou “cels,” captivent les collectionneurs et gagnent en valeur aux enchères en 2024. Avec la hausse de la demande pour les pièces rares provenant d’animés iconiques comme Dragon Ball, One piece et Akira, certaines ventes aux enchères en ligne et événements spécialisés ont vu leurs prix s’envoler.
En seulement 2 ans, Aibo Art Auction s’est rapidement positionné comme la maison de vente leader en Europe sur le segment en organisant régulièrement des enchères pour ces objets d’art tant prisés. Le succès de ses ventes souligne l’importance de l’expertise pour garantir l’authenticité ; la rareté venant justifier les montants engagés. Les collectionneurs doivent s’enregistrer préalablement aux enchères en produisant des références d’achat et garantie de paiement, signe de la valeur significative et de la nature compétitive du marché.
2024 montre un marché des celluloïds qui s’intensifie car il est en phase avec l’intérêt grandissant pour l’art et la culture visuelle des animés japonais dans le monde entier. Certains animes japonais sont devenus des œuvres transgénérationnelles grâce à leur capacité à toucher plusieurs générations et à offrir des niveaux de lecture qui plaisent aux enfants comme aux adultes.
En juillet 2024, un record a été battu pour un celluloïd original du film Princesse Mononoké (1997) du célèbre maître de l’animation japonaise Hayao Miyazaki lors d’une vente menée par Aibo Art Auction. L’image représentant le prince Ashitaka sur sa monture Yakuru a été adjugée pour 48 100 euros pour une estimation initiale entre 3 000 et 5 000€ : un record historique inédit en Europe pour un tel objet.
La vente aux enchères organisée par Aibo Art Auction le 15 décembre prochain entend offrir aux amateurs la possibilité d’acquérir une partie de cet univers à travers des pièces iconiques, des éditions limitées, des celluloïds originaux et d'autres objets rares qui évoquent des œuvres culte de l’animé japonais.
Aibo Art Auction : la maison de ventes à succès qui hisse l’animation japonaise au rang d’art
La maison de vente Aibo Art Auction a été fondée par trois experts renommés dans le domaine de l’art et des enchères : Guilhem Sadde, commissaire-priseur ; François Meyniel, un expert avec plus de vingt ans d’expérience dans les ventes aux enchères ; et François-Régis Houel, ancien galeriste parisien. Ensemble, ils mettent en commun leurs expertises respectives pour proposer des ventes aux enchères spécialisées, enrichissant le monde de l’art par leur savoir-faire et leur expérience dans l’animation japonaise et d’autres arts populaires et ont enregistrés plusieurs succès notables. Par exemple, lors de ses ventes d’Animation Japonaise régulières, certaines œuvres emblématiques, comme celles de Dragon Ball, One Piece, et d’autres classiques, se sont vendues à des prix record, en particulier pour des celluloïds originaux de séries cultes. Le marché croissant attirant les collectionneurs internationaux venus des 5 continents a contribué à des hausses importantes des valeurs de vente en 2024.
Portrait de Julien, collectionneur ou plutôt « chasseur de cel »
L’enfance de Julien a été bercée par les animés… Plus grand, en voyage au Japon, il entre dans une boutique spécialisée sans connaitre réellement l’existence des cellulos. Impressionné, pour 200€ il acquiert sa première pièce et se souvient s’être dit : « Si ma copine apprend que je viens de mettre cette somme dans un poster, elle va vraiment se fiche de moi." Le cellulo en question vaut aujourd'hui entre 6 000 et 8 000€...
C’est lors des périodes de confinement que Julien se lance vraiment dans la collection de ces pièces uniques. Pour lui, sa passion c’est aussi une chasse au trésor. Si sa collection compte environ 100 pièces aujourd’hui, il rêve encore d’y ajouter une pièce emblématique : un épisode 1 de Dragon Ball. A mesure que le temps passe ses goûts s’affinent et il n’est pas rare pour Julien d’échanger, revendre, de partager des bons plans avec les autres membres de la communauté… ceux qu’il appelle « les chasseurs de cels ».
Si Julien n’a pas véritablement les moyens d’acheter les pièces de ses rêves, il parvient à parfaire sa collection grâce à la revente de certaines pièces permettant ainsi à d’autres cellulos de qualité de rejoindre son trésor. La collection de Julien, c’est une passion avant tout, même s’il sait bien que la valeur de ses pièces augmentant, elle constitue un placement qui, en cas de coup dur, pourrait lui être utile… Mais Julien précise : « Je vais vous confier quelque chose : si j'en ai la possibilité, je ne revendrai jamais rien pour conserver le plaisir que j’ai à contempler ma collection de cellulos, tout simplement. »
Comments